La ferme de LINTEVER participe aux
samedi 27 mars 2010
vendredi 19 mars 2010
Nouveau: Formation Energies Renouvelables au Lycee du Blavet à Pontivy
« Énergies renouvelables » au lycée du Blavet
Une mention complémentaire, la seule dans l'académie, ouvrira en septembre prochain dans ce lycée professionnel. Au programme : photovoltaïque, solaire thermique, bois-énergie, etc.
La mention complémentaire
Le lycée du Blavet vient d'être habilité par le ministère à ouvrir une mention complémentaire intitulée « Énergies renouvelables et efficacité énergétique ». L'un des sept enseignants en génie énergétique, Philippe Robic, a d'ailleurs participé à l'élaboration de cette nouvelle formation. Le professeur est allé pour cela tous les mois depuis mai dernier à Paris, pour y plancher avec quatre autres enseignants, cinq inspecteurs et des professionnels.
Deux options seront proposées. L'une portera sur le photovoltaïque et le petit éolien. L'autre concernera le solaire thermique, le bois-énergie, les pompes à chaleur, la cogénération (chaudière produisant de la chaleur et de l'électricité par exemple).
Les élèves et professionnels concernés
La formation initiale s'adresse aux élèves titulaires d'un bac pro ou d'un brevet professionnel. Elle se déroulera en alternance, avec seize semaines en entreprises. Pendant cette période de stages, le lycée proposera de la formation continue. Il accueillera des professionnels souhaitant se former ou se perfectionner dans ces domaines de pointe.
Les débouchés
Les élèves et adultes concernés ne devraient pas avoir de difficultés à trouver des débouchés. Les énergies renouvelables sont de plus en plus demandées. Sauf qu'il y a « beaucoup de malfaçons car beaucoup d'entreprises ne sont pas au point », souligne Gilbert Rannou, le proviseur. « Des entreprises sont parties très vite là-dedans en voyant qu'il y avait un créneau à prendre », ajoute Philippe Robic. La filière est en train de s'assainir. « Les professionnels sont en attente de formation. C'est nouveau. »
Quinze places
Quinze élèves sont concernés par cette mention complémentaire, qui se déroulera sur un an. La classe sera vite remplie, car huit lycéens du Blavet ont déjà postulé. Car ils savent qu'il y aura « un diplôme reconnu au bout », souligne M. Rannou.
Une mention complémentaire, la seule dans l'académie, ouvrira en septembre prochain dans ce lycée professionnel. Au programme : photovoltaïque, solaire thermique, bois-énergie, etc.
La mention complémentaire
Le lycée du Blavet vient d'être habilité par le ministère à ouvrir une mention complémentaire intitulée « Énergies renouvelables et efficacité énergétique ». L'un des sept enseignants en génie énergétique, Philippe Robic, a d'ailleurs participé à l'élaboration de cette nouvelle formation. Le professeur est allé pour cela tous les mois depuis mai dernier à Paris, pour y plancher avec quatre autres enseignants, cinq inspecteurs et des professionnels.
Deux options seront proposées. L'une portera sur le photovoltaïque et le petit éolien. L'autre concernera le solaire thermique, le bois-énergie, les pompes à chaleur, la cogénération (chaudière produisant de la chaleur et de l'électricité par exemple).
Les élèves et professionnels concernés
La formation initiale s'adresse aux élèves titulaires d'un bac pro ou d'un brevet professionnel. Elle se déroulera en alternance, avec seize semaines en entreprises. Pendant cette période de stages, le lycée proposera de la formation continue. Il accueillera des professionnels souhaitant se former ou se perfectionner dans ces domaines de pointe.
Les débouchés
Les élèves et adultes concernés ne devraient pas avoir de difficultés à trouver des débouchés. Les énergies renouvelables sont de plus en plus demandées. Sauf qu'il y a « beaucoup de malfaçons car beaucoup d'entreprises ne sont pas au point », souligne Gilbert Rannou, le proviseur. « Des entreprises sont parties très vite là-dedans en voyant qu'il y avait un créneau à prendre », ajoute Philippe Robic. La filière est en train de s'assainir. « Les professionnels sont en attente de formation. C'est nouveau. »
Quinze places
Quinze élèves sont concernés par cette mention complémentaire, qui se déroulera sur un an. La classe sera vite remplie, car huit lycéens du Blavet ont déjà postulé. Car ils savent qu'il y aura « un diplôme reconnu au bout », souligne M. Rannou.
Cette formation et celles des autres filières de ce lycée du bâtiment seront à découvrir samedi 20 mars, lors des portes ouvertes de l'établissement. De 9 h à 17 h, 43, rue Charles-Gounod, Pontivy. Contact : 02 97 25 35 40.
Ouest-France 19 mars 2010
dimanche 7 mars 2010
Les 40 000
Voilà un nouveau seuil de production atteint : 40 000 Kwh d'électricité "propre" . Et en parlant de propreté, je suis allé faire un tour sur le toit pour examiner les panneaux : ils sont presque aussi net que le jour de la pose . La neige, en fondant et en tombant du toit, a embarqué les poussières et le verre est bien transparent à part quelles crottes d'oiseaux . La production de février est la même que celle du mois de février 2009 . La pose de type "solrif" ou tuiles photovoltaïques est identique à la pose de l'ardoise : le bas du panneau du haut est posé sur le haut celui en dessous . La neige n'est pas freinée dans sa descente car il y a un cadre alu en surplomb sur 3 côtés du panneaux (haut et latéraux) mais la baguette en alu du bas du panneau est sous le panneau , ce qui fait qu'il n'y a pas d'arête donc pas d'accumulation de saletés en bas et dans les angles .
Sur la photo, le côté haut est à ma main gauche, le côté bas à ma main droite et là, la barre en alu est sous les cellules :
Je pense que quand le panneau est entièrement entouré d'un cadre (pose "bord à bord"), les saletés peuvent s'accumuler dans le bas et favoriser la croissance de mousses et lichens comme on peut le voir sur cette photo trouvée sur internet (Googleblog : http://googleblog.blogspot.com/2009/07/should-you-spring-clean-your-solar.html ) . Ce n'est pas chez nous :
Sur la photo, le côté haut est à ma main gauche, le côté bas à ma main droite et là, la barre en alu est sous les cellules :
Je pense que quand le panneau est entièrement entouré d'un cadre (pose "bord à bord"), les saletés peuvent s'accumuler dans le bas et favoriser la croissance de mousses et lichens comme on peut le voir sur cette photo trouvée sur internet (Googleblog : http://googleblog.blogspot.com/2009/07/should-you-spring-clean-your-solar.html ) . Ce n'est pas chez nous :
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